Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (68) : Du Candaulisme À LAdultère (4)
AVERTISSEMENT
Dans le précédent texte, jai expliqué dans quelles conditions javais mis fin à ma relation avec mon amant N, pour lequel javais quitté le domicile conjugal et ma famille. Je me séparais de lui, ayant bien tardivement compris mon immense erreur, ma faute, davoir tout cassé pour une personne qui néprouvait aucun sentiment pour moi. Cela était dautant plus douloureux que jattendais un conçu avec ce monstre dégoïsme.
La première chose que javais faite avait été une longue explication avec ma mère. Elle a porté non seulement sur les récents événements mais nous a surtout permis de nous expliquer sur ce qui nous avait vivement opposées depuis mon enfance et de mon adolescence. Ce fût un exercice douloureux, mais qui était nécessaire pour refermer une plaie qui était toujours ouverte.
Il restait le plus difficile : tenter de réparer les dégâts que javais provoqués en quittant mon foyer et en trahissant mon mari Philippe, mais aussi ma compagne Agun.
Suivant les conseils de ma mère, cest dabord auprès dAgun que jai effectué ma première démarche.
FIDELE ET AMOUREUSE AGUN
Entre le moment où javais fait la connaissance dAgun, en 2004 et le moment où jétais allée la retrouver en Thaïlande, en 2013, il sétait écoulé près dune décennie, pendant laquelle Agun était restée ma confidente et où elle métait restée fidèle, alors quil ny avait aucun espoir quelle puisse revenir en France et encore moins pour me retrouver. Même pendant toutes ces années, Agun navait cessé de maimer et de mattendre.
Je pensais à cela au moment de lui faire la surprise du retour de la « femme prodigue ». Cette fois, il ne sétait écoulé que quelques mois, mais cétait très différent, car je lavais quitté, je lavais abandonné, je lavais trahi autant que javais trahi Philippe. Javais deux couples parallèles, un officiel, un autre plus informel, mais dont les liens étaient de la même intensité.
Pendant toute cette période où jétais tombée sous le charme de N avant de finir par le rejoindre, Agun avait tout tenté, avec douceur et diplomatie, pour mouvrir les yeux, et avait espéré que ce nétait quun mauvais moment à passer. Et même quand jétais partie, elle avait gardé lespoir, tentant de persuader Philippe de patienter, de retarder le divorce, déviter lirréparable.
Malgré la force de son amour, Agun saurait-elle me pardonner ? Je lespérais mais je ne pouvais en être certaine. Pendant ces mois, parce que javais honte de mon comportement, parce que N ne voulait pas entendre parler de celle quil appelait avec mépris « la gouine », je navais guère donné de mes nouvelles. Agun avait en vain essayé den savoir plus auprès de ma mère, mais je navais à ce moment-là plus aucun contact avec celle-ci non plus. Dans cette situation, une autre personne aurait renoncé. Mon instinct me disait que ce ne pouvait pas le cas dAgun.
Javais conservé la clé de son immeuble, je connaissais ses horaires et ses habitudes. Jai donc décidé de lattendre assise sur le palier de sa porte. Je possédais aussi toujours la clé de son appartement mais je ne voulais pas mimposer. Elle était parfaitement en droit de me chasser, de ne plus vouloir de moi.
LA CHANCE DE LAMOUR
Agun a toujours été dune grande ponctualité. Elle est sortie de lascenseur et bien entendu elle ma tout de suite vue, assise devant sa porte. Je me suis levée, je baissais les yeux, nosant pas la regarder, morte de honte.
Elle est toujours aussi belle. Ses yeux brillent, elle me fait son plus beau sourire, sidérée un instant par ce quelle voyait, quelle avait tant espéré sans plus y croire vraiment. Elle se contente de dire :
Oh, mon Dieu, merci !
Elle sest dirigée vers moi, ma pris la main et ma posé un doigt sur les lèvres, alors que je voulais parler, pour implorer ce pardon, dire ces mots que javais tant de fois répété dans ma tête.
Ne dis rien, mon amour, tu es là. Enfin ! Ca suffit à mon bonheur.
Dans nos relations saphiques, cest moi qui habituellement prends linitiative. Cette fois, je suis paralysée, même si je ressens le même désir quAgun. Cest comme si cétait ma première fois, je nose pas bouger. Nous échangeons un regard plein dintensité, damour et de désir.
Agun a compris que cette fois les rôles sont inversés, que cest à elle de prendre linitiative. Elle met la main derrière ma tête et prend possession de mes lèvres.
Nous échangeons un long et intense baiser, qui me laisse abasourdie de bien-être. Elle ne me laisse plus le temps de la réflexion, en me caressant rapidement un sein par-dessus le t-shirt. Sa bouche ne quitte plus la mienne et je réponds à sa langue.
Cest de plus en plus agréable, je suis totalement détendue, même quand elle pose une main sur ma poitrine.
Oh mon Dieu, que ça ma manqué! Nous ne nous soucions pas de lendroit où nous sommes. Nous sommes prêtes à nous aimer ici. Seul compte ce baiser fusionnel, interminable, qui dure jusquà ce que lune et lautre perdions notre souffle. Il ny a pas eu besoin de paroles, Agun maime et ma trahison na pas affecté son immense amour.
Agun se reprend, sort ses clés de son sac et mentraine à lintérieur de son appartement. Aussitôt les baisers et les caresses reprennent. Nous avons faim lune de lautre.
Ahhhh oh Agun tu mas trop manquée, embrasses moi !
Elle pénètre ma bouche dans un baiser de folie. Je laisse sa langue envahir ma bouche. Elle se serre contre moi. Notre baiser est interminable.
Agun prend ma main, mentraine vers cette chambre où nous nous sommes si souvent aimées. Contrairement à nos habitudes, cest elle qui prend linitiative.
Sa bouche revient sur moi. Cest très agréable de sentir sa langue venir dans ma bouche.Je ne men lasse pas.
Nous nous serrons longuement pendant ce baiser accrocheur. Je ne voudrais pas quelle arrête. Je sens mes seins gonfler, mes tétons se durcir. Je sais que mon intimité est humide, tout en moi traduit mon désir.
Sa bouche oublie un moment la mienne pour le cou. Elle me donne des frissons. Elle ouvre ma robe : elle sait que je suis nue dessous. Mon vêtement tombe sur le sol.
A son tour elle fait tomber sa robe : sa nudité me sidère tellement son corps me plait. Nous sommes à nouveau corps à corps. Cest excitant de sentir sa poitrine contre la mienne. Nos pubis se touchent longuement : je suis toute trempée. Cest Agun qui, la première, exprime son désir :
Jai envie de toi !
Moi aussi jai envie que tu me baises.
Tu es belle ... Jai très envie de toi! Sens comme tu mexcites!
Elle prend ma main droite pour la poser sur son sexe. Puis brusquement, elle prend ma bouche et je reçois à nouveau un baiser langoureux, profond. Sa langue franchit mes lèvres. Un baiser torride et presque brutal où nos deux langues semmêlent.
Je suis folle de tes seins!
Sa bouche sempare de mes tétons et les suce avec application. Elle les aspire. Je sens naître lexcitation. Puis sa main se glisse entre mes cuisses pour caresser ma vulve. Spontanément, je les écarte et elle enfonce deux doigts entre les lèvres de ma vulve.
Je veux te faire jouir, ma chérie! Jouir comme une folle ...
Elle me chuchote ces mots, tandis que ses deux doigts commencent à ramoner ma chatte. Puis sa bouche lâche mes seins, et cest de nouveau un baiser sulfureux : elle me fourre sa langue dans ma bouche. Un baiser interminable, tandis quelle rentre trois doigts dans ma chatte, la fouillant avec vigueur.
Le plaisir commence à me submerger. Je gémis. Mon ventre a comme des contractions. Agun le sent, et cest maintenant trois, puis quatre doigts qui fourragent mon vagin. Je sens quand elle entre des doigts dans ma chatte. Je me tends vers ses doigts qui me baisent.
Agun est comme enragée. Une véritable frénésie. Le mouvement de ses doigts saccélère. Maintenant, ce sont des plaintes lancinantes qui sortent de ma bouche. Puis jai une brutale contraction du ventre, un gloussement obscène, un râle ... Je viens de jouir, une jouissance si forte, si réparatrice après les tensions de ces dernières semaines.
ENCORE, ENCORE
Je voudrais parler, mexpliquer. Ce nest pas encore le moment. Agun nen na pas fini avec moi et nous avons encore et toujours envie de faire lamour.
Jai encore envie de toi, Olga
Sa bouche membrasse partout. Des bouts des seins, elle descend la bouche vers le nombril puis le ventre. Je me tends vers elle quand elle embrasse ma fourrure. Je me sens mouillée. Je lui tiens la tête comme si javais peur de la perdre.
Agun mattire un peu plus à elle. Et, savançant aussi de son côté, elle a son visage tout près de mon sexe. Elle se met à le lécher, avec application. Je sens cette langue chaude, mouillée qui passe et repasse sur ma chatte, sur mon clitoris et je ne tarde pas à ressentir les premières vagues de plaisir :
Tu aimes ça, nest-ce pas, ma chérie?
Elle me sent frémir et veut lire sur mon visage le plaisir quelle me donne :
Ton adorable petite chatte, ton joli minou, ton con si mignon!
Elle ne se retient plus. En léchant mon sexe, elle semble être en adoration devant une icône.
Agun me lèche la vulve, appuyant sa langue à chaque passage. Agun écarte les lèvres de ma vulve pour y enfoncer la pointe de sa langue. Dans la chambre, le silence nest brisé que par le bruit de lapement provoqué par la langue dAgun dans ma chatte et par mes gémissements que je ne peux plus contrôler :
Laisse-toi aller, ma chérie! Je veux te donner tout le plaisir!
Je voudrais que ça ne sarrête plus. Dinstinct, jappuie sa tête contre ma vulve :
Humm! Oui! Oui;! Ne tarrête pas! Oh! Que cest bon! Que cest bon!
Je la sens de mieux en mieux me fouiller. Elle aspire un peu mon clitoris, y passe le bout de sa langue doucement puis de plus en plus vite. Sa tête est en entier entre mes cuisses. Elle passe ses deux mains sous mes cuisses, que je lève un peu. Mon clitoris la reçoit encore, cette fois je suis plus longue à venir. Agun garde toujours sa bouche sur mon bouton, elle ne fait que changer dendroit, ses doigts caressent dabord mon anus avant dy entrer.
Agun me lape frénétiquement la vulve et le clitoris. Puis, sa main gauche lâche ma cuisse pour se plaquer sous mes fesses. Je comprends ce quelle veut. Je sens son doigt glisser sur ma raie et toucher mon petit trou. Sans préliminaires, je sens son doigt senfoncer dans mon cul et je frissonne de plaisir. Je suis de plus en plus excitée, je gémis, je râle presque. Cette langue, ce doigt, tout cela me rend folle. Je sens la spirale du plaisir monter, irrépressible. Mon ventre se contracte et je jouis, bruyamment.
AU TOUR DAGUN : AMOUR ET PERSPECTIVES
Je sais que nos ébats vont durer, nous avons du temps à rattr. Et surtout mon amour a dabord voulu mon plaisir, il est temps que je moccupe delle. Jai envie dAgun, je veux la faire jouir à mon tour.
Je magenouille devant elle, ses jambes sont écartées devant mon visage.
Mes mains caressent doucement lintérieur de ses cuisses si douces, jadmire un instant son magnifique bonbon intégralement épilé.
Allons! Lèche-moi bien! Bouffe-moi le minou! Fais-moi jouir!
Ma douce Agun essaie de jouer la dominante, tandis que je suis censée être la soumise.
Je la fais se lever, me colle contre elle et nous échangeons un baiser de feu. Je fourrage sa bouche avec ma langue et elle en fait autant. Puis ma main droite sinsinue entre ses cuisses et je fourre deux doigts dans sa chatte :
Tu aimes, Agun? Deux doigts dans ton joli con!
Hum! Oh! Fouille-moi bien le con avec tes doigts! Jadore ça!
Mes doigts fouillent sa vulve, son vagin. En même temps, je la regarde dans les yeux; je veux y lire lexpression de son plaisir. Elle écarte ses jambes. Trois doigts font des allers-retours rapides dans sa chatte et Agun commence à sentir le plaisir monter. Puis je me penche pour lui téter les seins. Jaspire ses tétons, je passe ma langue sur les bouts. Quatre doigts senfoncent dans sa vulve; elle doit être bien excitée, car je sens sa cyprine crémeuse sur mes doigts.
Tu aimes mes quatre doigts dans ton con?
Agun gémit doucement. Elle est moins bruyante que moi :
Oh! Oui, mon amour! Jaime sentir tes doigts dans mon con! Tu mexcites tellement!
Elle gémit de plus en plus; parfois, on dirait des miaulements. Je lui glisse un doigt dans le cul. Elle tressaille, dautant plus que je lui remue le doigt dedans. Maintenant, je mexcite toute seule. Je fourrage frénétiquement la vulve dAgun qui simprègne de plus en plus de sa cyprine.
Je commence à passer des coups de langue sur sa vulve, avant décarter les lèvres avec mes doigts, afin dinsérer ma langue à lintérieur. Je sens Agun tressaillir :
Hmm! Jadore ça! Continue, cest un vrai délice!
Je pousse ma langue à lintérieur autant que je peux. Agun commence à ressentir les effets de ce cunnilingus denfer : je la sens frissonner de plaisir, puis elle se met à gémir doucement.
Jaspire, mordille, suce, tourne autour avec ma langue durant plusieurs minutes puis mes doigts la fouillent de plus en plus loin, tandis que, plus haut, ma main libre passe dun sein à lautre titillant au passage ses petits tétons durcis.
Je sens ses mains appuyées sur ma nuque, plaquant ainsi mon visage contre sa chatte dans un geste impulsif. Les gémissements dAgun enflent. En levant les yeux vers elle, je la vois les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Elle est au paradis. Je veux lui procurer un maximum de jouissance.
Sa respiration saccélère, Agun se met à onduler contre ma bouche, je ne me retiens plus ni mains ni bouche, je lui donne tout ce que je peux, tout son corps se cabre. Un cri profond séchappe de sa gorge alors que je finis de lécher tout son jus damour. Je me mets à lécher cette cyprine qui sécoule abondante de sa vulve
Agun sourit, me caressant les cheveux, tandis que je lape les dernières gouttes.
Oh mon dieu ma chérie tu mas tuée ! Cétait si fort, ça ma manqué.
Elle ajoute :
Tu sais dailleurs depuis que tu es entrée dans ma vie, plus aucune femme ne ma touché et ne me touchera. Je suis à toi et seulement à toi, Olga.
Je me relève et cest à nouveau un baiser torride, interminable, où nos langues se mêlent.
Je suis amoureuse, comme le premier jour où je tai rencontrée, au salon de massage.
Oh tu mas tellement manquée mon Bébé. Embrasse-moi!
Agun me redresse pour me dévorer la bouche encore maculée de son plaisir, je ronronne en lembrassant, nos mains caressent tout ce quelles peuvent toucher.
Ma chérie sétait allongée sur mon dos, collant ses seins sur ma peau, tout en me mordillant loreille. Elle me murmure des mots doux :
Je taime, mon Olga !
Oui moi aussi je taime ma chérie, je serai toujours ton bébé. Comment je pourrais me faire pardonner le mal que je tai fait ?
Tais-toi, on nen parle plus, tu es là, dans mes bras, cest tout ce qui compte.
Bien quépuisées par le plaisir intense que nous venions de vivre, nous avions tant de choses à nous dire. Je nai rien caché à Agun des mois que javais vécus et en particulier des conséquences, de cet que je portais et que je voulais garder. Agun était bien entendu daccord avec moi, me disant quelle serait pour cet comme une seconde mère.
Cest Agun qui a abordé la première le plus difficile : Philippe et les s. Je lui disais que javais tout détruit et que je ne voyais pas comment Philippe pourrait cette fois passer léponge, dautant quil avait une compagne, qui attendait un de lui. Je devais donc me résigner à aller au bout de la procédure de divorce et trouver les meilleurs arrangements possibles dans lintérêt des s. Jajoutais à lintention dAgun :
La seule chose que je nai pas réussi à détruire, cest notre amour à toi et à moi. Quand mon divorce sera prononcé, veux-tu devenir mon épouse, Agun ?
Chérie, je me considère déjà comme ta femme, sans quil soit besoin dune cérémonie. Par contre, dans lintérêt des s et de celui que tu portes, Philippe doit rester ton mari. Il taime et je sais que tu laimes.
Cest impossible, il ne voudra pas. Je lai trahi, je suis impardonnable.
Qui a favorisé ton hypersexualité, ta poussé à avoir des amants parce que lui était candauliste ?
Cest vrai, mais cest moi qui ais commis la faute irréparable. En plus, je lai poussé dans les bras dune autre, avec qui il va reconstruire sa vie. Je nai pas le droit de leur faire du mal. Cette fille ne ma rien fait.
Pour avoir beaucoup parlé avec Philippe, je te dis quil taime toujours, comme tu laimes toujours. Il y a cette liaison, que tu as encouragée pour pouvoir être tranquille avec N, il en assumera les conséquences. Mais son épouse cest toi. Et cette jeune femme en est bien consciente.
Je voudrais que tu aies raison, mais ça me parait impossible. Cest trop tard.
Il faudra que tu fasses des efforts, que tu changes de comportement, quil ny ait plus de dérapages, que tu donnes tout le contrôle à Philippe sur le fonctionnement si particulier de votre couple. Il faudra que tu acceptes, ou du moins que tu tolères cette Théodora. Mais je sais moi que cest possible si Philippe et toi vous le voulez. Pour les s et pour vous.
Les choses avaient été faciles avec Agun, dont lamour envers moi avait tout emporté. Je ne doutais pas de la force, de la profondeur des sentiments qui existaient toujours entre moi et Philippe, mais cela me paraissait bien plus compliqué.
Agun mavait confirmé et de quelle manière son amour. Elle navait à aucun moment pensé à elle, alors que je lui proposais une vie commune et un mariage. Elle me redonnait lespoir de réparer les terribles dégâts que javais faits, ajoutant seulement, après avoir déposé un baiser sur mes lèvres : « laisse-moi faire ! »
Nous nous sommes endormies, heureuses, dans les bras lune de lautre. Le lendemain main, métant réveillée la première, jétais allée chercher lun des godes-ceinture que jutilisais avec Agun. Après lavoir réveillé en douceur, avec des baisers et des caresses, je lai prise sauvagement. Cest elle qui me demanda de la baiser et elle a joui comme jamais sous mes assauts. Entre nous deux, tout reprenait son cours normal. Il me restait à avoir une explication avec Philippe. Je savais que ce ne serait pas facile. Je savais quAgun avait raison : pas seulement pour les s, mais aussi pour moi, javais besoin delle, mais aussi de Philippe. Javais décidée dassumer et de me battre pour y parvenir.
(A suivre)
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